A l’occasion d’une étude sur les animaux mal-aimés en poésie, les 6eC ont mis à l’honneur ces bêtes qui nous rebutent tant. Imitant Victor Hugo, leurs textes sont peuplés de moustiques, scorpions, araignées et autres « créatures maudites et chétives » « qu’on hait » ou fuit. Leurs créations ont pris la forme d’un haïku, poème court japonais dont les contraintes sont fortes (scansion en 5-7-5). Quoi de mieux que des lanternes pour mettre au jour ces mots et décors inventés par les élèves ? A la lueur du « papier de riz », ces jeunes poètes font sortir ces animaux de l’ombre.
Les lanternes poétiques des 6eC
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Poètes en herbe, les 6eC ont écrit des haïkus et les ont mis en lumière...